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TEMOIGNAGE DE RONALD BERNARD: EX-ILLUMINATI
(Mis à Jour le 01 01 2024)
Chers
frères en Christ et chers amis, nous sommes heureux de partager avec
vous ce
témoignage de M. Ronald Bernard, un autre ex-illuminati qui a réussi à
s’échapper du monde de ténèbres qu'il trouve difficile à décrire. Bien
que nous
soyons déjà habitués à ces types de témoignages, c’est toujours
édifiant de
lire des nouveaux.
Ces
témoignages sont là pour nous rappeler ce à quoi le monde autour de
nous
ressemble. Lucifer et ses agents travaillent, et le monde de ténèbres
est aussi
réel que celui dans lequel nous vivons. Ceux de vous qui sont déjà
chrétiens
nés de nouveau doivent demeurer dans le combat spirituel. Et pour tous
ceux qui
n'ont pas encore donné leur vie à Jésus, il est temps de le faire.
Maintenant
que vous avez compris que le monde des ténèbres est réel, comprenez que
le
monde de la lumière est aussi réel. La vie éternelle est donc une
réalité. La
Bible nous enseigne que chacun de nous vivra éternellement, soit au
Ciel, soit
en Enfer. Voici le moment de choisir où vous passerez votre éternité.
Faites le
bon choix pendant qu'il est encore temps.
Début
du témoignage
Le
banquier néerlandais, Ronald Bernard, dénonce
l'élite satanique du monde
Le
média
alternatif affirme depuis longtemps qu'une
cabale internationale de satanistes contrôle notre monde. Maintenant,
un
dénonciateur crédible s'est manifesté, témoignant de l'existence de la
cabale.
C’est un ancien banquier néerlandais nommé Ronald Bernard.
Dans
l'interview,
Bernard a déclaré qu'il sort d'une
famille avec un père violent. Pour survivre face à cette violence, il
avait
appris à réprimer sa conscience. Il est devenu un entrepreneur et s'est
intéressé
au monde financier. Une connaissance dans ledit monde a proposé de le
conseiller tout en lui donnant la condition nécessaire pour réussir
dans le
monde financier à savoir mettre sa conscience dans le "congélateur" -
autrement appelé un pacte faustien.
Bernard
est
devenu prospère sur le plan financier en tant
que facilitateur de l'évasion fiscale et de l'échange de devises /
blanchiment
d'argent pour les grands acteurs, y compris les banques, les
gouvernements, les
multinationales, les services secrets et les groupes terroristes. Grâce
à son
travail, il a pu découvrir les liens dont seul 1% des leaders de la
pyramide de
l'élite mondiale est au courant. Cette élite de 8 000 à 8 500 adorent
lucifer
comme leur dieu, considère les gens comme des moutons à utiliser et
manipule
les médias afin de dissimuler comment le monde fonctionne.
Bernard
est
devenu un membre de ces 1% de leaders et a
été invité à l'église satanique d’élite de la Messe Noire "Eyes Wide
Shut", des femmes nues et des drogues. À cette époque, la conscience de
Bernard, longtemps assoupie, avait commencé à se réveiller après avoir
vu
comment la spéculation en devises, en particulier la lira italienne, a
causé la
faillite d’une entreprise et a incité le propriétaire à se suicider.
Lorsqu’il
fut
demandé à Bernard de participer aux
sacrifices sataniques du sang des enfants, c'était le coup de grâce.
Ceux qui
ont participé feraient l’objet de chantage par l'élite satanique en vue
d'exécuter les ordres de cette élite.
Bernard
a
commencé à refuser les missions. Il voulait
sortir, mais était pris au piège. Il était physiquement torturé pour
qu’il ne
révèle pas les noms des entreprises, des groupes et des individus.
Finalement,
il était totalement déprimé et s'est retrouvé en réanimation. Pendant
qu'il
était en réanimation, Bernard eut une expérience de mort imminente dans
laquelle il était hors de son corps mais vit le personnel de l'hôpital
qui
travaillait sur son corps. Cela l'a convaincu qu'il n'est pas seulement
un
corps, mais qu'il a une âme. Il a fallu une année complète pour qu'il
se
rétablisse.
Entretien
de Bernard
Intervieweur:
Ronald,
vous avez une bonne expérience dans
le secteur financier, la gestion d'actifs, les opérations de dépôt,
d'après ce
que j'ai compris. Pouvez-vous nous dire quelque chose au sujet de vos
expériences? Pendant combien de temps avez-vous travaillé là-bas?
Bernard:
Eh bien, mes
expériences sont plus compliquées que ce que vous avez mentionné tout à
l'heure. En fait, j'ai été un entrepreneur toute ma vie. L'indépendance
étant
l'élément clé pour moi. J'ai essayé une fois d'être un employé, mais
cela n'a
pas marché. En tant qu'entrepreneur, j'ai vu de nombreux secteurs,
parmi
lesquels j'ai expérimenté le monde financier. J’ai été impliqué dans
toutes mes
autres entreprises en tant qu'entrepreneur, comme ma propre ligne de
vêtements
pour dames, les concessionnaires automobiles et aussi les
imports-exports
jusqu’à accumuler ma propre fortune. Celle-ci m'a guidé dans le monde de
la
finance. En matière d'import-export, vous rencontrez des devises
différentes et
vous devez vous rendre à la bourse pour négocier avec des courtiers.
L'un de
ces courtiers a une fois déclaré: "Ronald, j'ai étudié votre vie depuis
longtemps et vous êtes toujours occupé. Vous gagnez de l'argent, nous
le
savons, mais quel est votre objectif?" J'ai répondu: "le seul but que
j'ai en tant qu'entrepreneur est de gagner autant d'argent que
possible"
parce que plus j’ai de l'argent, plus vite je peux prendre ma retraite,
être
libre et bien sûr avoir un statut, essentiellement tout ce que vous
voulez dans
cette société. Ou du moins, c'est ce que je pensais à l'époque. Alors
le
courtier a déclaré: "Dans ce cas, arrêtez ce que vous faites
maintenant,
et commencez juste à faire de l'argent, allez dans le monde financier".
Et
c'est le début de cette situation qui est liée à votre question
initiale. Le courtier
a eu une place dans le marché des changes et il a traité en devises,
dépôts, de
ce fait il a négocié des actifs pour gagner de l'argent sur les
différences
de taux d'intérêt, et ceci impliquait la gestion d'actifs. Ces trois
aspects
ensemble constituaient un accord intéressant auquel j'ai répondu oui.
Il dit:
"D'accord, vous pouvez prendre ma place ici, je vais vous former, vous
présenter au réseau, mais en échange, je veux 10% de vos gains
annuels."
Alors, il m'a essentiellement vendu sa place dans le monde financier et
a
demandé une commission de 10% que je lui ai payée. J'ai dit "Oui, cela
me
convient!" Ensuite, il a répondu: "Il y a une chose que vous devez
savoir. Si vous ne
pouvez pas mettre votre conscience dans le congélateur
proverbial, et je ne veux pas dire à -18 degrés, mais à -100, alors ne
vous y
impliquez pas. "Oups! C'était le message: "vous voulez beaucoup
d'argent, vous pouvez l'obtenir, je peux vous aider, mais cela coûte
très cher,
parce que vous ne pouvez pas le faire avec une conscience claire."
Eh bien, j'ai ri, j’étais jeune et naïf. De ma jeunesse, de la façon
dont je
suis entré dans la vie; ma jeunesse loin d'être idéale m'a amené à
développer
une certaine vision du monde et de l'humanité.
Intervieweur:
Que voulez-vous dire par là? Pas de famille chaleureuse
et aimante?
Bernard:
Ma mère a
toujours fait de son mieux pour que nous nous sentions aimés, mais elle
a été
empêchée par le comportement du père, qui nous a fait ressentir comme
si nous
vivions dans une zone en guerre. Ce n'est pas une situation exemplaire
dans
laquelle il fallait grandir. En tant qu'enfant, grandir ainsi m'a fait
croire
que le monde et l'humanité sont loin d'être super.
Intervieweur:
Alors, mettre
votre conscience dans le congélateur était comme un point de
départ?
Bernard:
J'étais,
en partie, déjà habitué à faire cela par
autoconservation, donc mettre
ma conscience dans le congélateur n'était pas une tâche impossible pour
moi.
Intervieweur:
Alors, il est devenu un mécanisme de survie pour vous?
Bernard:
Oui, Oui. Et
mon point de vue sur l'humanité et le monde autour de moi n'était pas
aussi
positif. Je pensais seulement à moi-même, c'est comme ça que j'ai
grandi pour
me protéger et je suis entré dans les affaires. Ce qui signifiait que
je
construisais une base de clients petit à petit. Au fur et à mesure que
j’améliorais mes compétences au sein du réseau, je suis entré en
profondeur
dans le monde
financier, et il s'avère que le monde est
vraiment petit et vous le remarquez toujours. Même
lorsque je travaillais
encore dans le commerce des importations et des exportations, faisant
dans les
céréales et consort, vous constatez que ce n'est qu'un petit cercle. Et
si nous
parlons du cercle du
noyau dur dans le monde financier, je ne parle pas
de petites transactions à la banque, mais des grands flux mondiaux
d'argent que
vous utilisez pour le commerce.
Intervieweur:
Vous parlez des flux monétaires à l'échelle mondiale,
et non pas les Pays-Bas en particulier où vous avez commencé à
travailler?
Bernard:
Les Pays-Bas
jouent un rôle distinct dans cette histoire, mais le monde ne tourne
pas autour
d’eux. Les Pays-Bas font partie d'un grand système financier mondial
dans
lequel vous travaillez sur le marché des changes si vous souhaitez
effectuer
des transactions officielles. Et de nombreuses banques qui effectuent
l'échange
de devises obtiennent certaines tâches des clients, auxquelles elles ne
peuvent
pas facilement s'en sortir. Ensuite, un besoin se pose pour les gens
comme moi,
qui étaient les hommes de paille impliqués dans de grands flux
financiers. Nous
avons utilisé certaines constructions financières, une législation
internationale, pour faire circuler l'argent de manière à ce que tout
soit
"en règle". Alors, tous les superviseurs, les organismes de
réglementation à travers le monde, parce qu'ils sont ... Que personne
ne se
réveille en train de voir ce qui se passe, comme il y a un ou deux ans,
avec le
scandale autour du Panama ...
Intervieweur:
Documents du Panama.
Bernard:
Oui.
Intervieweur:
Oui.
Bernard:
Oui, puis ...
Intervieweur:
Évasion fiscale?
Bernard:
Je pense, bien,
qu’il s'agissait d'éviter les taxes, l'évasion fiscale c’est lorsque
vous
enfreignez toutes les règles. Il s’agissait d’éviter cela. Mais quand
vous
voyez ce qui s'est passé là-bas, je me dis, "les gars, c'est une
vieille
nouvelle, et qui est-ce que vous ennuyez avec ça?" Parce que ce sont
des
broutilles et peu pertinentes. Cependant, pour les gens ordinaires, ce
sont
d'excellentes nouvelles, mais ce n'est pas quelque chose de grand. Mais
cela
montre qu'il y a quelque chose qui ne va vraiment pas dans ce monde.
Par
exemple, il y a des gens aux Pays-Bas, avec certains postes, qui ont
des
comptes bancaires au Panama avec une législation qui leur permet de ne
pas
payer de taxes aux Pays-Bas, ce qui est encore complètement légal. Des
constructions comme celles-ci faisaient partie de mon travail, lorsque
nous
devions changer de monnaie. Nous avons eu des changements, les premiers
boycotts en Irak au début des années 90, quand il y a eu un boycott en
Irak à
cause de la guerre qui a commencé là-bas. Et nous étions confrontés à
ce que
nous appelions "dollars irakiens" - les dollars irakiens qui étaient
en fait des dollars américains. Le dollar américain a une relation
directe avec
les prix du pétrole qui en ont fait une monnaie de commerce mondial
soutenue
par le pétrole. Tant que cette connexion est en place, le dollar a de
la
valeur. Officiellement, le peuple irakien n'était pas autorisé à vendre
son
pétrole à cause du boycott. En théorie, c'est parce qu’il n’y avait eu
jamais
auparavant de grandes entreprises pétrolières, avec des rabais dans ce
cas, car
officiellement cela n'était pas autorisé ... donc, avec des rabais, il
traversait encore les frontières. Parce que l'énergie était toujours
payée en
dollars, ces dollars irakiens devaient aller quelque part. Vous ne
pouviez pas
simplement les transporter au bureau à la banque parce que toutes les
réglementations et tous les contrôles fournissaient une certaine
protection,
car le blanchiment d'argent et la criminalité n'étaient rien de nouveau
à
l'époque. Maintenant, nous l'appelons terrorisme, mais c'était aussi le
cas.
Alors, vous avez besoin de gens pour en assumer la responsabilité.
Comme des
hommes de paille, vous avez été invité à une banque, par exemple, en
Allemagne,
où il y a des sous-sols avec beaucoup de camions remplis d'argent.
Intervieweur:
Wow!
Bernard:
Et alors, vous
pensez, "Bien sûr ... les camions, les transports, une entreprise
active." Ensuite, ils vous montrent qu'ils sont tous remplis à pleine
capacité avec des dollars. Et ils vous disent "Nous devons nous
débarrasser de tout cet argent." Donc, changez-les pour les livres, les
marks allemands, ceci et cela, de cette façon, et il doit aller là et
là.
Intervieweur:
Parlons-nous maintenant du blanchiment d'argent? Ou ...
Bernard:
Eh bien, le
traitement de fonds en espèces. Traitement de l'argent de telle sorte
que nous
pouvons le réintroduire légalement dans le circuit monétaire.
Intervieweur:
Donc c'était votre tâche?
Bernard:
C'était une
tâche que mes collègues et moi avions reçue.
Intervieweur:
Ok.
Bernard:
Vous n'êtes
jamais seul dans une tâche parce que vous ne pouvez pas le faire seul.
Ce n'est
pas possible. Nous connaissons tous l'Oncle Picsou ramassant de
l'argent avec
sa pelle; eh bien, nous avons littéralement dû faire ça là-bas. Il
était
impossible de traiter tout à la fois. Alors, vous devez trouver un
moyen.
L'argent était autrefois le principal moyen de payer, alors
qu'aujourd'hui la
plupart est numérique. Mais vous essayiez de trouver un moyen de
traiter
l'argent. Comment réintroduire l'argent dans le circuit afin que l'Irak
puisse
commercialiser son pétrole sans gêne? Parce que ce sont eux qui
possèdent
l'argent. L'Irak ne veut pas ... Regardez, vous avez mentionné le
blanchiment
d'argent, mais en ce qui concerne le boycott, l'Irak a dû respecter les
règles,
et, vous savez, tout
ce que vous voulez savoir sur le monde, vous pouvez le savoir en
suivant l'argent. C'est ça l'essentiel. Tout le
monde peut dire
"blah blah", mais assurez-vous de suivre l'argent, alors vous
trouverez la vérité. Il en va de même pour cette situation. Donc, la
seule
chose que l'Irak et ses partenaires d'achat voulaient c’était d’être
exempt de
toute accusation. Parce que les partenaires qui l'ont acheté étaient
ceux qui
ont placé le boycott au départ. Mais ils sont en réalité tous des amis
du même
côté. Tout le monde
pense qu'ils sont opposés comme les bons et les méchants
dans le monde, mais aux niveaux supérieurs, c'est juste un jeu et ils
travaillent tous ensemble. Cependant, ils doivent
s'en tenir aux règles
et aux règlements qu'ils ont eux-mêmes créés pour maintenir le reste de
la
société brimé et s'assurer qu'il n'y ait trop de monde au sommet. Donc,
vous
devez jouer selon vos propres règles. C'est ce qui se passe là-bas,
c'est
s'assurer que personne ne peut vous tracer. En dehors de l'élite elle-même,
personne dans les rangs inférieurs ne peut découvrir ce qui s'est
réellement
passé.
Intervieweur:
Compartimenté, voilà comment on l'appelle.
Bernard:
Oui.
Intervieweur:
Chacun connaît
seulement un peu. Seule l'élite sait ce qui se passe.
Bernard:
Oui, mais
parce que nous faisions une sale besogne, nous devions
en
connaître beaucoup, car nous ne pouvions pas nous
permettre de
commettre des erreurs.
Intervieweur:
Quel niveau avez-vous atteint dans la pyramide? Étiez-vous
près du sommet de la pyramide?
Bernard:
Eh bien, nous
communiquions avec eux.
Intervieweur:
D'accord.
Bernard:
Mon ego aurait
aimé appartenir au sommet même. De nos jours, nous parlons encore de 8 000
à 8 500 personnes qui dirigent le monde entier. Il
aurait été
incroyable d’avoir une telle position à l'époque.
Intervieweur:
D'accord, mais si nous disons que le sommet connait à
100%, pouvez-vous estimer votre degré de connaissance et de
compréhension de ce
qui s'est passé?
Bernard:
Dans
mon travail, je devais connaître à 100% ce qui se passait.
Il n'y avait
pas d'autre moyen, parce que les intérêts des personnes impliquées
étaient
énormes.
Intervieweur:
Surtout pour le sommet.
Bernard:
Exactement.
Si je ne connaissais
pas tous les détails,
je finirais par commettre des erreurs. Ce qui
entraînerait des
retombées, car ces erreurs seraient détectées. Ensuite, les gens qui ne
savent
rien à ce sujet interféreraient. Nous parlons du fait d'avoir des nerfs
d'acier
pour fonctionner à ce niveau.
Intervieweur:
Alors, aviez-vous des nerfs d'acier?
Bernard:
Oui, ça
fonctionnait bien.
Intervieweur:
Le congélateur fonctionnait très bien pour vous ...
Bernard:
Oui, j'ai
travaillé au plus haut niveau pendant environ 5 ans. Et
puis, c'était
totalement fini, complètement. Ce fut un moment très intense pour moi.
Intervieweur:
Cela s'était-il passé soudainement, ou y avait-il une
raison?
Bernard:
Eh bien, non,
en fait, ... J'ai donné un
petit exemple de ce qui était impliqué.
Donc dans ce cas, l’échange
de devises. Dollar à autre chose, déposé de manière sûre, et
bien gérer les actifs, afin de pouvoir augmenter le taux de rendement,
entraînant des réinvestissements avec l'argent.
C'est le niveau auquel
j'ai fonctionné au cours de ces 5 années, et cela n'a pas eu lieu du
jour au
lendemain, vous devez mériter votre place. Je suis doué en matière
d’établir
des liens, des informations afin d'obtenir une image complète de toutes
les
choses impliquées, qui doivent être prises en compte dans le terrain de
jeu. Ce
qui est un processus très détaillé. Vous vous démarquez quand vous êtes
doué en
cela. C'est la raison pour laquelle la confidentialité à 100% de
l'information
en relation avec mon travail m’avait été confiée. Donc, je ne
connaissais pas
tout ce qu'ils connaissaient, mais tout ce que j'avais besoin de
connaitre
concernant le cas que je traitais avec des collègues. Je jouais souvent
le rôle
de leader parce que je tenais un bon aperçu de la situation, et j'étais
doué en
idée innovatrice dans la résolution de problème. Je m’étais bien amusé,
créant
des solutions de manière à toujours rester en tête et à les surpasser,
restant
dans les règles du jeu, mais jouant avec elles pour les faire
correspondre.
J'adorais ce jeu. Cependant, d'autre part, vous aviez énormément de
responsabilités et vous appreniez de plus en plus à propos du monde
réel, car à
travers le monde financier, vous découvrez toute la vérité.
Intervieweur:
Alors, vous dites "toute", dans quel sens?
Bernard:
Eh bien, vos
clients vous donnent un aperçu de la façon dont le monde fonctionne
réellement.
En rétrospective, je ne connaissais toujours pas tout, mais je
connaissais
beaucoup, parce que mes clients étaient des banques qui ne voulaient
pas de
sang sur leurs mains. Mais au sein de ces banques, il y a toujours un
certain
nombre de personnes qui savent très bien ce qui se passe.
Donc, à peu
près 1%
au sein d'une banque, connaît la vérité sur les événements dans le monde,
ce qui n'est pas surprenant étant donné qu'ils sont impliqués dans les
flux
d'argent. Ces gens sont vos
clients. Vous traitez également
avec les
gouvernements, les multinationales, vous devez
traiter avec les
services secrets et ce qu'ils appellent maintenant les
organisations terroristes. Vous avez tous ces groupes impliqués dans de
grosses sommes d'argent comme clients, puis vous commencez à voir les
connexions. Donc, ils pourraient être
compartimentés comme vous venez
de mentionner, en ce qui concerne le savoir, mais parce que je suis au
milieu,
je vois le lien qui existe entre eux; vous voyez l'argent provenant de
ce lieu,
puis allant à cet endroit, etc. Vous continuez à obtenir des
informations et
donc un aperçu de ce qui se passe réellement.
Intervieweur:
Alors, devriez-vous
servir et garder tous ces groupes heureux, y compris les organisations
terroristes, essayiez-vous de garder tout le monde heureux?
Bernard:
Oui.
Intervieweur:
Mon Dieu!
Bernard:
Oui. C'était
mon travail.
Intervieweur:
Jongler avec toutes les tâches.
Bernard:
Oui, en effet.
Donc, l'une des
choses que j'ai découverte et que je ne connaissais pas
auparavant, mais maintenant je connais, concerne les services
secrets;
vous pensez qu'ils sont là pour servir et protéger un peuple, un pays,
etc., mais ils sont
en réalité des organisations criminelles, pour être
plus précis, c’est ainsi qu’est fortement le système. Nous parlons de financement
des guerres, de la création de guerres, donc en gros, la création de
beaucoup
de misère dans ce monde; donc
tellement de conflits. Et alors je pense à moi-même, si seulement les
gens
savaient ce à quoi le monde ressemble vraiment. Les services secrets ne reculent devant
rien. Rien. Mais ils ont également leurs flux
d'argent, parce que s'ils
se livrent dans le trafic des drogues ou des armes, les gens ... tout
cet
argent doit aller quelque part. Tout doit être financé.
Intervieweur:
Vous dites "si", mais pouvez-vous confirmer qu'ils
le font?
Ronald:
Tout le monde.
Tous.
Intervieweur:
Oui.
Bernard:
Donc, le
monde entier tel que nous le connaissons, n'est qu'une illusion
à
laquelle nous croyons. C'est quelque chose que vous trouvez dans ce
genre de
travail, et où tout s'est mal passé pour moi, pour le dire ainsi.
Intervieweur:
"Bien", vous voulez dire, enfin de compte que
c'est ça.
Bernard:
En
rétrospective, oui, c'était pour le mieux, mais mon "congélateur" a
commencé à mal fonctionner. Il y avait des choses
qui se passaient. Par
exemple, je suis allé dans un marché commercial différent, et un de mes
collègues a dit: "Ronald, vous souvenez-vous de ce cas avec la lira
italienne?" J'en parle parfois aussi pendant les discussions. "Vous
souvenez-vous de ces offres?" dans lequel nous avons fait un dumping massif
de la lire, ce qui a réduit la valeur de la devise, ce qui a provoqué
la chute
d’une société en Italie de telle manière qu'ils ont
fait faillite. Et
alors, vous entendez à l'échange: "Vous vous souvenez de cette
transaction
réussie avec la lire?" J’ai dit "oui". Et puis, ils ont dit:
"Saviez-vous que le propriétaire s'est suicidé et a laissé derrière lui
une famille?"
Intervieweur:
Des choses comme ça ... Ouch.
Bernard:
Et à l'époque,
on en a rigolé. Ha haha, tous ensemble, nous tous. Nous méprisions les
gens,
nous nous moquions d’eux. C'était juste un produit. Déchets. Tout était
à jeter
au panier. La nature, la planète, tout pourrait brûler et se briser.
Intervieweur:
Juste des parasites inutiles.
Bernard:
Tant que nous
avions atteint nos objectifs, tant que
nous étions en croissance. Beaucoup de mes collègues ont fini par boire
ou
consommer de la drogue. Pas moi. Peut-être que je devrais.
Intervieweur:
Ou non.
Bernard:
Non, en
rétrospective, c'était pour le meilleur et je suis heureux d'être
toujours en
vie. Cependant, toutes
ces choses horribles ont commencé à m'envahir.
Intervieweur:
Pouvez-vous donner un exemple, car je ressens que
beaucoup de choses terribles vous sont arrivées.
Bernard:
Oui, c'est un
sujet difficile à aborder.
Intervieweur:
Je peux le sentir, mais tout ce que vous souhaitez
partager est la bienvenue.
Bernard:
Oui, je parle
seulement des choses que je veux faire connaître. Mais cela suscite
beaucoup
d'émotions et avec ma conscience qui n’est pas dans le congélateur,
cela me
touche profondément.
Intervieweur:
Pouvez-vous me dire le pire qui s'est produit et qui a
causé le point de basculement dans votre situation?
Bernard:
Eh bien,
c'était le début de la fin. Vous
entrez si profondément dans ces
cercles, et vous signez un contrat à vie, pas avec
du sang ou quoi que
ce soit, de ne
jamais divulguer les noms d'entreprises, d'organisations ou de
personnes. Je pense que c'est pour ça que je suis toujours en vie.
Vous
devez y adhérer. Si nous parlons des pires choses que j'ai vécues ...
Je viens
de vous raconter des choses qui ont marqué le problème du congélateur,
ma
conscience a commencé à se montrer. Disons-le ainsi, je me formais pour devenir un
psychopathe, et j'ai échoué. Je n'ai pas fini la formation
et je
ne suis pas devenu un psychopathe. Ma conscience est revenue et
la
partie la plus difficile pour moi était, parce que j'avais un si grand
statut
là-bas, j'étais un succès, les gens qui intervenaient à ce niveau me
faisaient
confiance. Pour parler avec prudence, la plupart de ces personnes ont
suivi une religion pas très répandue. Vous avez donc des catholiques,
des
protestants, toutes sortes de religions. Ces gens, la plupart d'entre
eux, étaient
lucifériens. Et vous pouvez dire que "la religion
est un conte de
fées, Dieu n'existe pas, rien de tout cela n'est réel". Eh bien, pour
ces
personnes, c'est la vérité et la réalité, et ils ont servi quelque chose
d'immatériel, ce qu'ils ont appelé lucifer. Et j'étais également en
contact avec
ces cercles, seulement je me suis moqué de cela
parce que pour moi, ils
n'étaient que des clients. Alors, je suis allé dans des lieux appelés églises
de satan.
Intervieweur:
Alors, maintenant, nous parlons du satanisme?
Bernard:
Oui, alors j'ai
visité ces églises, juste comme un visiteur, j'y ai fait un saut, et ils
faisaient leur sainte messe avec des femmes nues et des boissons
alcoolisées et
d'autres choses. Et cela m'a simplement amusé. Je
ne croyais à aucune
de ces choses, et j'étais loin d'être convaincu si tout cela était réel.
Intervieweur:
Ce n'était qu'un spectacle pour toi.
Bernard:
Oui, à mon
avis, l'obscurité et le mal règnent en ces gens eux-mêmes. Je n'avais
pas
encore fait la connexion. Donc, j'étais un invité dans ces cercles et
cela m'a
amusé énormément de voir toutes ces femmes nues et les autres choses.
C'était
la bonne vie. Mais à
un moment donné, c'est pourquoi je vous raconte
tout
ceci, j'ai été
invité à participer à des sacrifices ... à l'étranger.
C'était
le déclic. Les enfants.
Intervieweur:
On vous a demandé de le faire?
Bernard:
Oui, et je
ne pouvais pas le faire.
Intervieweur:
En passant, voulez-vous vous arrêter un instant?
Bernard:
Non. Et puis j'ai
commencé à me dégrader lentement. J'ai vécu
beaucoup de choses pendant
mon enfance et cela m'a vraiment profondément touché. Tout a changé.
Mais c'est
le monde dans lequel je me suis retrouvé. Ensuite, j'ai commencé à refuser des
tâches dans mon travail. Je ne pouvais plus le faire. Je devenais un
danger.
Intervieweur:
Pour eux, bien sûr.
Bernard:
Je ne pouvais
plus fonctionner de manière optimale. Ma performance a commencé à
chanceler et
j'avais refusé les tâches. Je n'avais pas participé. L’objectif de tout ceci,
éventuellement, dans ledit monde, c'est qu'ils ont chacun dans leur
poche. Vous
devez être susceptible de chantage. Et le fait de
me faire du chantage
s'est révélé très difficile si j'y repense. Ils voulaient le faire par
le biais de ces enfants. Et cela m'a brisé.
Intervieweur:
Est-ce - vous ne me dites pas quelque chose de nouveau
- ce qu'ils font aussi en politique?
Bernard:
Si vous faites
une recherche sur Google, vous trouverez suffisamment de témoignages
dans le
monde entier pour savoir que ce n'est pas un conte de fée de Walt
Disney.
Malheureusement, la vérité est que dans le monde entier, ils le font depuis des
milliers d'années. Une fois, j'ai étudié la
théologie et même dans la
Bible, vous trouvez des références à ces pratiques avec les Israélites.
La
raison pour laquelle les 10 premières tribus ont été bannies à
Babylonie était
à cause de ces rituels avec des enfants, y compris le sacrifice des
enfants. Donc, cela est pertinent, tout cela m'a
fait croire, parce que
je me rendais compte que le monde ne s'arrête pas au visible. Il y
a tout un monde invisible. C'est réel. Vous parlez
vraiment d'une
force obscure et d'une manifestation de lumière.
J'ai donc étudié la
théologie pour en comprendre tout.
Intervieweur:
Et la psychologie aussi si je me souviens bien?
Bernard:
Oui, mais je
l'ai fait au début de ma vie. Parce qu’à travers la psychologie
commerciale, la
psychologie de masse, j'étais capable de manipuler des situations à mon
propre
avantage.
Intervieweur:
C'est effrayant, car si vous allez en profondeur, vous
trouvez l’institut Tavistock et le contrôle de l'esprit, MK Ultra,
Monarch et
autres ...
Bernard:
Oui, c'est
exact, mais cela faisait partie du travail. Grâce à la formation au
travail, je
suis entré dans cela plus profondément, car lorsque vous faites des affaires,
vous devez également manipuler les médias. Vous devez manipuler
beaucoup de
choses parce que rien ne peut être vu tel quel. Tout doit apparaître
comme
quelque chose de différent. Vous voyez les gens comme un troupeau de
moutons.
Vous mettez quelques Border Collies et les conduisez dans une
direction. Et
pour être honnête avec vous, je vois encore cela se passer autour de
moi. Les
gens sont encore, à travers les systèmes et les méthodes que nous
utilisions
nous-mêmes, en train d’être traités de la même manière. Et ça marche
toujours.
Les gens ne comprennent toujours pas comment cela fonctionne vraiment
et sont
encore au niveau de "tant que j'ai ma bière" ou autres, complètement
égocentrique, un mécanisme de survie aussi. Je veux dire que c'est le
programme
après tout, mais vous voyez toujours combien il est stupidement facile de mettre
les gens dans une certaine direction. Quand vous
êtes celui qui tire
les ficelles, ça y est.
Intervieweur:
La psychologie de masse.
Bernard:
Oui. Beaucoup
plus tard, dans toutes ces études et découvertes, j'ai trouvé un document qui,
selon eux, est une connerie bien sûr, les Protocoles de Sion.
Et
aujourd'hui, je
recommande à tous de lire l'intégralité de ce document
incroyablement ennuyeux. Lisez-le, parcourez-le.
Intervieweur:
Nous parlons également du sionisme.
Bernard:
Oui, bien sûr. Si
vous lisez les Protocoles de Sion, et que vous les
étudiez et
compreniez vraiment, alors c'est
comme lire le journal de la vie
quotidienne. Comment de leur position de pouvoir
ultime, et ultime il
est littéralement devenu, mais c'est seulement parce que les gens ne se
défendent pas. Ils ne se rendent pas compte de la réalité.
Intervieweur:
Et nous avons tous été programmés. Si vous
osez dire que vous êtes contre le sionisme, alors vous êtes
taxé d'antisémite.
Bernard:
Du point de vue
négatif, vous pouvez parler du mal, les lucifériens, les satanistes,
quel que soit le nom que vous donnez ... c'est une véritable entité.
J'ai
constaté que ce qui est écrit dans la Bible, et pas seulement la Bible,
vous
pouvez le trouver dans plusieurs livres, il y a vraiment eu un moment
de
séparation de la manifestation de la lumière, au cours de laquelle un
groupe a
suivi sa propre voie et sont vraiment remplis de haine, de colère; ceux
qui ne
sous-estiment pas la gravité de cette situation sont peu nombreux.
Parce que
c'est une force
destructrice qui nous déteste. Elle déteste la création, elle
déteste la vie. Elle fera tout pour nous détruire complètement, et pour
le
faire elle divise l'humanité. Diviser et conquérir c’est leur vérité.
L'humanité est une manifestation de la lumière. C'est la véritable
création.
Tant que vous les divisez en
fonction des partis politiques, de la
couleur de la peau, etc. ... alors vous - du point
de vue luciférien -
supprimez toutes les capacités de votre ennemi, leurs pleins pouvoirs.
Ils ne
peuvent pas se défendre, car si cela arrivait, les lucifériens
perdraient.
Alors ce monstre, le monstre gourmand disparaitrait. Je parle aux gens
à propos
de ce vieux général américain qui met une salle remplie de personnes
dans le
noir. Les yeux s'adaptent à l'obscurité, mais vous ne pouvez rien voir.
Le
général ne dit pas un mot et soudain il allume un briquet. Une petite
lumière.
En raison de l'obscurité prolongée, vous ressentez une manifestation de
la
lumière à partir d'un seul point et chacun peut un peu revoir l'autre.
Et puis
il dit "c'est le pouvoir de notre lumière."
Intervieweur:
Magnifique.
Bernard:
Unissez-vous.
Unissez-vous. Venez ensemble, et toute cette histoire de la merde cesse
d’exister. C'est avec cette rapidité que les choses pourraient arriver.
Mais
c'est facile pour moi de le dire maintenant, mais alors j'étais dans
une
période de ma vie où je m'effondrais.
Intervieweur:
Pourriez-vous nous dire quelque chose de précis à ce
sujet?
Bernard:
J'ai commencé à
refuser les missions. Ma conscience est revenue après la demande
impliquant les
enfants et j'ai commencé à refuser de plus en plus. J'avais une
conscience et
je ne pouvais plus fonctionner.
Intervieweur:
Mais êtes-vous encore allé au travail après cela?
Bernard:
Je n'avais pas
vraiment le choix, j'avais mes propres affaires avec plusieurs bureaux
et
employés, tout fonctionnait encore.
Intervieweur:
Cela a dû être dur.
Bernard:
Oui, c’était
très difficile, toutes les tensions. Donc, d'une part, vous jouez avec
de
l'argent à un niveau élevé, dans lequel vous ne pouvez pas vous
permettre de
faire des erreurs, sinon tout tombe tout de suite, votre business est
totalement
ruiné, tout le monde impliqué, y compris vous-même. Ensuite, vous êtes
vraiment
foutu. Cela entraîne beaucoup de stress, en tenant compte du
ressourcement
d'une conscience. On m'avait déconseillé l'entrée dans ces choses: "Ne le faites pas si vous ne pouvez pas
mettre votre conscience à -100 degrés dans le congélateur."
Intervieweur:
Et vous avez probablement compris cela alors?
Bernard:
Oui, je
m'entendais rire de ça à l'époque, mais ce n'était pas une blague du
tout. Je
ne comprenais absolument pas où j'étais vraiment entré.
Intervieweur:
Et votre congélateur proverbial était-il éteint?
Bernard:
Détruit. Je ne
pouvais plus le faire. J'ai donc essayé de
surmonter cela, de garder
les apparences. Je
ne savais pas comment m'en sortir, j'étais également pris au piège.
Tout le monde était pris au piège. Tout cela m'a finalement amené à m’écraser
complètement. Mon corps s'est simplement arrêté. La
première chose que
j'ai vue, était ma mère qui pleurait dans la salle de réanimation.
Intervieweur:
Vous avez fini en réanimation?
Bernard:
Oui, j'avais
vraiment cessé d’exister.
Intervieweur:
Vous étiez littéralement écroulé?
Bernard:
Oui. Oui. Et
... à cette époque, je ne croyais en rien, mais je peux encore me
rappeler
comment j'ai vu, de ce coin-là, je me regardais. J'ai vu comment ils
travaillaient sur moi.
Intervieweur:
Vous avez eu une
expérience de mort imminente.
Bernard:
Eh bien, vous
pourriez l'appeler ainsi. J'ai vu que je ne suis pas mon corps. Je
suis "dans" mon corps, mais je ne suis pas seulement mon corps. Je
les ai vus travailler sur moi. Et plus tard, j'ai
été réticent à en
parler pendant longtemps. J'ai vraiment parlé à propos plus tard. Mais
quand je
l'ai fait, j'avais déjà fait beaucoup de recherches et je commençais à
croire.
Je commençais à mieux comprendre le spirituel et le matériel. À ce
moment-là,
cette expérience intense avait sa place. Le fait de réaliser que je ne
suis pas mon corps, c'est juste un vase. J'ai vécu
tout cela, mais
j'avais aussi besoin de beaucoup de temps pour récupérer.
Intervieweur:
Oui, bien sûr.
Bernard:
Oui, j'étais
une épave. Une véritable épave. J'étais complètement épuisé. J'avais
succombé,
et le corps avait besoin d'un an pour se rétablir. Je ne veux vraiment
pas en
parler maintenant, mais dans
ces cercles, j'ai été physiquement
torturé quand je voulais sortir. C'était pour s'assurer que je ne
romprais
jamais le secret du contrat. J'ai donc été pris
pendant un certain
temps. J'ai été "traité". Tous ces facteurs joints, ont tout
simplement augmenté le stress que j'éprouvais, je courais littéralement
à
pleine vitesse vers ma propre fin.
Intervieweur:
Voulez-vous dire les enlèvements, comme nous
l'appelons, ou la programmation?
Bernard:
Non, ils m'ont
exposé à certains types de torture qui vous amènent à ne jamais nuire à
quelqu’un dans leur monde. Tout s'est passé de cette manière, alors la
fin de
ma première vie était si difficile que je ne pouvais plus la supporter.
Je ne
pouvais plus en aucun cas la supporter. Cependant, le pouvoir de mon
esprit
était si fort, que cela ne se passait qu'avec mon corps et à mon corps.
C'était
... eh bien, je ne savais plus quoi faire. Il ne restait plus d'options
pour
moi. C'est pourquoi, parfois, je pense - bien sûr que ce n'est pas vrai
- mais
j'aurais aimé, comme beaucoup de collègues, avoir pris la voie des
drogues et
de l'alcool. Au moins, ma fin aurait été plus douce. La plupart d'entre eux sont déjà
morts. Même si je sais qu'il y a plus d'hommes de
paille qui se
promènent, il y a peu de personnes en vie que je connaissais à
l'époque. La
plupart d'entre eux sont déjà morts. Eh bien, j'étais aussi mort, mais
je suis
encore là.
Intervieweur:
Donc, vous avez encore quelque chose à faire.
Bernard:
Oui, je suppose
que vous pourriez dire cela. Mais je ne peux pas dire en un mot,
puisque je ne
sais pas depuis combien de temps nous parlons, le monde dans lequel je
me suis
retrouvé. Si vous avez des questions particulières, alors je peux les
répondre,
mais j'espérais être plus concis. Mais je ne sais pas comment.
Intervieweur:
Eh bien, recevez ma gratitude pour tout ce que vous
avez partagé.
Bernard:
Pour moi, c'est
une grande préoccupation.
Que la grâce
soit
avec tous ceux qui aiment notre Seigneur
Jésus-Christ d'un amour inaltérable!
Chers frères et sœurs,
Si vous avez fui les fausses églises et voulez savoir ce que vous devez faire, voici les deux solutions qui s'offrent à vous:
1- Voyez si autour de vous il y a quelques autres enfants de Dieu qui craignent Dieu et désirent vivre selon la Saine Doctrine. Si vous en trouvez, sentez-vous libres de vous joindre à eux.
2- Si vous n'en trouvez pas et désirez nous rejoindre, nos portes vous sont ouvertes. La seule chose que nous vous demanderons de faire, c'est de lire d'abord tous les Enseignements que le Seigneur nous a donnés, et qui se trouvent sur notre site www.mcreveil.org, pour vous rassurer qu'ils sont conformes à la Bible. Si vous les trouvez conformes à la Bible, et êtes prêts à vous soumettre à Jésus-Christ, et à vivre selon les exigences de Sa parole, nous vous accueillerons avec joie.
Que la grâce du Seigneur Jésus soit avec vous!
Source & Contact:
Site Internet: https://www.mcreveil.org
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